Acte III vient d’un accident, d’une paralysie d’un bras pour un temps indéfini.
Partant de ce manque et de l’incapacité de le combler, Romain se met à écrire. Mais des trous restent. Qu’ils comblent avec de la musique
Texte absurde ou réelle tentative d’explication d’un point de depart, litanie ou percussion vocale, déplacements obsessionnels ou danse rituelle, Acte III se joue dans cet espace immense et minuscule à la fois.